Dans l'UEMOA, la production industrielle progresserait de 5,2%, en glissement annuel, au cours du mois sous revue, contre une réalisation de 2,6% le mois précédent, en rapport avec le dynamisme de l'activité économique dans les pays de l'Union, singulièrement en Côte d'Ivoire. Quant au chiffre d'affaires du commerce de détail, il augmenterait de 1,3%, en glissement annuel, en avril 2016, après une baisse de 2,6% notée le mois précédent.
Sur un autre plan, note le Bulletin mensuel des statistiques, on apprend que sur la base des données officielles, le taux d'inflation est ressorti, en glissement annuel, à 1,3% à fin avril 2016, contre une réalisation de 0,8% à fin mars 2016. La progression de l'indice général des prix reste imputable à la composante « Alimentation », dont la contribution à l'inflation totale est ressortie à 1,4 point de pourcentage à fin avril 2016 contre 0,9 point un mois plus tôt.
En effet, le renchérissement relevé au niveau des produits alimentaires serait induit principalement par un approvisionnement insuffisant des marchés en légumes, tubercules et produits de la pêche dans le plupart des pays, et en céréales non transformées au Togo. La hausse du niveau général des prix résulte également des effets induits du relèvement des tarifs de l'électricité en Côte d'Ivoire, du renchérissement des combustibles solides au Mali et au Niger ainsi que de l'augmentation des prix des services de restauration au Bénin, en Côte d'Ivoire et au Togo.
Pathe TOURE
Sur un autre plan, note le Bulletin mensuel des statistiques, on apprend que sur la base des données officielles, le taux d'inflation est ressorti, en glissement annuel, à 1,3% à fin avril 2016, contre une réalisation de 0,8% à fin mars 2016. La progression de l'indice général des prix reste imputable à la composante « Alimentation », dont la contribution à l'inflation totale est ressortie à 1,4 point de pourcentage à fin avril 2016 contre 0,9 point un mois plus tôt.
En effet, le renchérissement relevé au niveau des produits alimentaires serait induit principalement par un approvisionnement insuffisant des marchés en légumes, tubercules et produits de la pêche dans le plupart des pays, et en céréales non transformées au Togo. La hausse du niveau général des prix résulte également des effets induits du relèvement des tarifs de l'électricité en Côte d'Ivoire, du renchérissement des combustibles solides au Mali et au Niger ainsi que de l'augmentation des prix des services de restauration au Bénin, en Côte d'Ivoire et au Togo.
Pathe TOURE