L’équipe du Fonds monétaire international (FMI) qui a séjourné en Afrique de l’ouest pour tâter le pouls de l’économie sous-régionale se veut formelle : la zone Uemoa a besoin de plus de réformes pour amorcer le développement tant espéré. Conduite par Boileau Loko, les services du Fmi ont à travers un communiqué final suggéré l’assainissement des finances publiques. Cette réforme est indispensable pour maintenir le rythme de croissance de la région et préserver la position externe de l’Union.
Selon toujours la même source, les États doivent mettre en œuvre les programmes de consolidation budgétaire annoncés, notamment en réduisant leurs déficits budgétaires à 3 pourcent du PIB en 2019, en ligne avec les critères de convergence de l’UEMOA. Dans ce contexte, ajoute le texte, et en vue de renforcer les perspectives de croissance à moyen terme, il serait nécessaire de poursuivre les réformes destinées à une plus forte mobilisation des recettes budgétaires internes, une meilleure maîtrise des dépenses courantes et une amélioration de la qualité des investissements publics.
Pathé TOURE
Selon toujours la même source, les États doivent mettre en œuvre les programmes de consolidation budgétaire annoncés, notamment en réduisant leurs déficits budgétaires à 3 pourcent du PIB en 2019, en ligne avec les critères de convergence de l’UEMOA. Dans ce contexte, ajoute le texte, et en vue de renforcer les perspectives de croissance à moyen terme, il serait nécessaire de poursuivre les réformes destinées à une plus forte mobilisation des recettes budgétaires internes, une meilleure maîtrise des dépenses courantes et une amélioration de la qualité des investissements publics.
Pathé TOURE