
Cette progression a été enregistrée dans tous les pays de l'Union, à l'exception du Niger qui a accusé un recul de 5,3%. Les plus fortes hausses des recettes budgétaires, d'une année à l'autre, ont été notées au Burkina (+16,0%), en Côte d'Ivoire (+13,4%) et au Togo (+11,2%).
La hausse des recettes budgétaires dans l'Union a été essentiellement induite par un meilleur recouvrement des recettes fiscales dans la quasi-totalité des pays. Le taux de pression fiscale est passé de 16,6% en 2015 à 17,1% en 2016, mais reste en deçà de l'objectif communautaire de 20% au minimum visé à l'horizon 2019.
Les recettes non fiscales se sont chiffrées à 1.004,9 milliards en 2016, contre 1.227,9 milliards un an plus tôt, soit une baisse de 18,2%. 67. Quant aux dons budgétaires, ils se sont élevés à 1.321,7 milliards sur l'année 2016, en légère hausse de 0,8% par rapport à 2015.
Les dépenses et prêts nets se sont accrus de 8,0%, en passant de 13.808,6 milliards à fin décembre 2015 à 14.910,4 milliards à fin décembre 2016. Exprimés en pourcentage du PIB, les dépenses et prêts nets ressortent quasiment stables (25,6% en 2016 contre 25,9%.
Pathé TOURE
La hausse des recettes budgétaires dans l'Union a été essentiellement induite par un meilleur recouvrement des recettes fiscales dans la quasi-totalité des pays. Le taux de pression fiscale est passé de 16,6% en 2015 à 17,1% en 2016, mais reste en deçà de l'objectif communautaire de 20% au minimum visé à l'horizon 2019.
Les recettes non fiscales se sont chiffrées à 1.004,9 milliards en 2016, contre 1.227,9 milliards un an plus tôt, soit une baisse de 18,2%. 67. Quant aux dons budgétaires, ils se sont élevés à 1.321,7 milliards sur l'année 2016, en légère hausse de 0,8% par rapport à 2015.
Les dépenses et prêts nets se sont accrus de 8,0%, en passant de 13.808,6 milliards à fin décembre 2015 à 14.910,4 milliards à fin décembre 2016. Exprimés en pourcentage du PIB, les dépenses et prêts nets ressortent quasiment stables (25,6% en 2016 contre 25,9%.
Pathé TOURE