Les recherches et les données actuelles indiquent que près de 75 % des nouvelles maladies qui affectent les humains, ces dix dernières années étaient causées par des agents pathogènes d’origine animale ou environnementale ou de produits d’origines animales. 80 % des agents qui pourraient être bio terroristes sont des pathogènes zoonotiques.
60 % des maladies infectieuses humaines existantes sont zoonotiques.
A titre d’exemple, l’épidémie d’Ebola a commencé dans une forêt et s’est propagée pour toucher plus 28 000 personnes, et a causé la mort de 11 000 personnes, dans dix pays.
Ces épidémies affectent l’équilibre socio-économique des pays touchés. En Afrique de l’Ouest, les épidémies mondiales de grippe aviaire dans la volaille ont coûté des dizaines de milliards de dollars depuis 2013, dont plus de 20 millions de dollars rien que pour le Cameroun.
La banque mondiale estime que l’épidémie de Zika de 2016 coûtera environ 3,5 milliards de dollars à la région Amérique latine et Caraïbes.
Face à ces épidémies, l’approche « Une seule santé » peut aider à les prévoir et les prévenir. En effet, préconisent les participants à la réunion de Dakar, par l’étude et la détection des maladies et des épidémies chez l’animal et dans l’environnement, les agences de prévention des maladies locales, nationales et internationales peuvent travailler de concert pour prévenir l’apparition d’épidémies chez l’homme ainsi que leur expansion moniale.
Amadou BA
60 % des maladies infectieuses humaines existantes sont zoonotiques.
A titre d’exemple, l’épidémie d’Ebola a commencé dans une forêt et s’est propagée pour toucher plus 28 000 personnes, et a causé la mort de 11 000 personnes, dans dix pays.
Ces épidémies affectent l’équilibre socio-économique des pays touchés. En Afrique de l’Ouest, les épidémies mondiales de grippe aviaire dans la volaille ont coûté des dizaines de milliards de dollars depuis 2013, dont plus de 20 millions de dollars rien que pour le Cameroun.
La banque mondiale estime que l’épidémie de Zika de 2016 coûtera environ 3,5 milliards de dollars à la région Amérique latine et Caraïbes.
Face à ces épidémies, l’approche « Une seule santé » peut aider à les prévoir et les prévenir. En effet, préconisent les participants à la réunion de Dakar, par l’étude et la détection des maladies et des épidémies chez l’animal et dans l’environnement, les agences de prévention des maladies locales, nationales et internationales peuvent travailler de concert pour prévenir l’apparition d’épidémies chez l’homme ainsi que leur expansion moniale.
Amadou BA