Dans son mot introductif, le président par intérim du Comité interparlementaire de l’Uemoa a confié : « les membres du Cip viennent d’être informés, au cours de notre présente session, des problèmes de trésorerie que rencontre l’ensemble des Organes de notre Union en raison, principalement, de la persistance des difficultés de recouvrement des ressources du Prélèvement Communautaire de Solidarité ».
Dans le but de contribuer à la recherche de solution, l’honorable Fononna Cheick Ahmed Coulibaly a indiqué que les parlementaires du Cip de l’Uemoa adopteront au cours de cette session une résolution appelant les hautes autorités de l’Union au reversement du Prélèvement communautaire de solidarité.
Par ailleurs, il a souligné que « le contexte d’insécurité délétère que vit certains Etats membres, interpelle le Cip en tant qu’institution se trouvant au cœur des préoccupations sécuritaires de nos Etats et de nos populations ».
« Nous continuons de croire que face à cette insécurité persistante, la réponse doit être globale. Elle doit être envisagée au plan communautaire, régional voire international », a-t-il ajouté.
Depuis l’année dernière, il a rappelé qu’en collaboration avec la Commission de l’Uemoa, ils ont travaillé pour la mise en place d’un dispositif de suivi de la mise en œuvre des recommandations et résolutions issues de leur Organe parlementaire.
L’objectif visé était d’aboutir à un mécanisme efficace, consensuel, prenant en compte l’essentiel des préoccupations des populations de l’Union. « Ce dispositif, faut-il le rappeler, est aujourd’hui un acquis grâce à votre engagement personnel », s’est-il réjoui, s’adressant au président de la commission de l’Uemoa Abdoulaye Diop.
Bassirou MBAYE
Dans le but de contribuer à la recherche de solution, l’honorable Fononna Cheick Ahmed Coulibaly a indiqué que les parlementaires du Cip de l’Uemoa adopteront au cours de cette session une résolution appelant les hautes autorités de l’Union au reversement du Prélèvement communautaire de solidarité.
Par ailleurs, il a souligné que « le contexte d’insécurité délétère que vit certains Etats membres, interpelle le Cip en tant qu’institution se trouvant au cœur des préoccupations sécuritaires de nos Etats et de nos populations ».
« Nous continuons de croire que face à cette insécurité persistante, la réponse doit être globale. Elle doit être envisagée au plan communautaire, régional voire international », a-t-il ajouté.
Depuis l’année dernière, il a rappelé qu’en collaboration avec la Commission de l’Uemoa, ils ont travaillé pour la mise en place d’un dispositif de suivi de la mise en œuvre des recommandations et résolutions issues de leur Organe parlementaire.
L’objectif visé était d’aboutir à un mécanisme efficace, consensuel, prenant en compte l’essentiel des préoccupations des populations de l’Union. « Ce dispositif, faut-il le rappeler, est aujourd’hui un acquis grâce à votre engagement personnel », s’est-il réjoui, s’adressant au président de la commission de l’Uemoa Abdoulaye Diop.
Bassirou MBAYE