« Globalement, les performances macroéconomiques enregistrées depuis 2012 se maintiendraient en 2019, dans un contexte caractérisé, au niveau mondial par la baisse des cours des matières premières et les tensions commerciales, et au niveau régional par la persistance de la crise sécuritaire et les attaques terroristes », lit-on dans le document consulté par le Journal de l’économie sénégalaise (Lejecos).
Selon la même source, le taux de croissance de l’Union serait de 6,6% en 2019 comme en 2018, porté par l’ensemble des Etats membres. Le taux d’inflation ressortirait à-0,7% en 2019 contre +1,2% en 2018, en liaison principalement avec la baisse des prix des produits alimentaires consécutive aux bonnes campagnes agricoles et les mesures prises par les Gouvernements pour assurer un approvisionnement régulier des marchés en produits de grande consommation.
Au niveau des finances publiques, le déficit budgétaire global de l’Union se réduirait à 3% contre 3,8% en 2018, sous l’effet, principalement, d’une amélioration des recettes fiscales (+10,1%) alors que les dépenses totales et prêts nets progresseraient de 7,1%.
Adou FAYE
Selon la même source, le taux de croissance de l’Union serait de 6,6% en 2019 comme en 2018, porté par l’ensemble des Etats membres. Le taux d’inflation ressortirait à-0,7% en 2019 contre +1,2% en 2018, en liaison principalement avec la baisse des prix des produits alimentaires consécutive aux bonnes campagnes agricoles et les mesures prises par les Gouvernements pour assurer un approvisionnement régulier des marchés en produits de grande consommation.
Au niveau des finances publiques, le déficit budgétaire global de l’Union se réduirait à 3% contre 3,8% en 2018, sous l’effet, principalement, d’une amélioration des recettes fiscales (+10,1%) alors que les dépenses totales et prêts nets progresseraient de 7,1%.
Adou FAYE