« Aujourd’hui, nous procédons à la signature de quatre accords d’un montant global de 453 millions de dollars, dont 241 millions de dollars sous forme de don. Nous bouclons ainsi une année fiscale avec un engagement qui fera date dans le partenariat entre la Banque mondiale et le Sénégal. En effet, le niveau de financements concessionnels de 898 millions de dollars, soit environ 484 milliards de FCfa, n’a jamais été atteint en une seule année fiscale de la Banque mondiale », a déclaré Nathan Beleté, directeur des opérations de la Banque mondiale au Sénégal.
Selon lui, ce niveau exceptionnel de financement traduit une mobilisation très forte de la Banque mondiale pour appuyer le Gouvernement dans la réponse à la Covid-19 et la relance de l’économie, dans un contexte lui-même exceptionnel. Il souligne aussi l’importance d’une gestion efficace des finances publiques afin qu’ils puissent se traduire par des changements concrets et rapides pour les populations du Sénégal.
«Maintenant que ces financements sont disponibles, il importe à présent de se focaliser sur leur mise œuvre efficace, selon les bonnes pratiques de gestion des finances publiques. La population sénégalaise en général, et ses composantes les plus vulnérables en particulier, comptent sur tous ceux qui sont impliqués dans la mise en œuvre de ces programmes, afin qu’ils puissent en voir rapidement l’impact visible sur l’amélioration de leurs conditions de vie », a indiqué le directeur des opérations de la Banque mondiale.
Adou FAYE
Selon lui, ce niveau exceptionnel de financement traduit une mobilisation très forte de la Banque mondiale pour appuyer le Gouvernement dans la réponse à la Covid-19 et la relance de l’économie, dans un contexte lui-même exceptionnel. Il souligne aussi l’importance d’une gestion efficace des finances publiques afin qu’ils puissent se traduire par des changements concrets et rapides pour les populations du Sénégal.
«Maintenant que ces financements sont disponibles, il importe à présent de se focaliser sur leur mise œuvre efficace, selon les bonnes pratiques de gestion des finances publiques. La population sénégalaise en général, et ses composantes les plus vulnérables en particulier, comptent sur tous ceux qui sont impliqués dans la mise en œuvre de ces programmes, afin qu’ils puissent en voir rapidement l’impact visible sur l’amélioration de leurs conditions de vie », a indiqué le directeur des opérations de la Banque mondiale.
Adou FAYE