Cette rencontre tenue le mercredi 15 juin dernier, en marge de ses visites officielles auprès des Etats de Côte d’Ivoire et du Sénégal, visait, selon la Bceao, à échanger sur ses initiatives communautaires et son action en matière d’inclusion financière ainsi que les perspectives de coopération avec l’UNSGSA.
A cet égard, un communiqué de la banque centrale rapporte que les discussions ont porté sur le projet régional d’interopérabilité des services financiers numériques, la promotion et le développement des FinTech, la révision des lois bancaire et de microfinance dans l’Uemoa, la problématique de l’identification des utilisateurs des services financiers, le financement des Petites et Moyennes Entreprises, l’éducation financière et la protection des consommateurs.
La rencontre a également, d’après la Bceao, donné l’opportunité d’aborder les contraintes spécifiques au genre en matière d’accès et d’utilisation des services financiers dans l’Union.
Par ailleurs, la reine Maxima des Pays-Bas a assuré les autorités de la banque centrale quant au soutien des Nations unies pour le développement de l’inclusion financière.
« Merci pour cette importante session d’échanges productifs dans le but de développer davantage l’inclusion financière dans la région. », a notamment inscrit la reine Maxima sur le Livre d’or de la Banque centrale, en marge de sa visite de travail avec les autorités de la Bceao.
La conseillère spéciale du secrétaire général des Nations Unies sur les questions relatives à la finance inclusive a également confié que leur « engagement pour accompagner » les « efforts » des autorités de la Bceao « sera maintenu ».
Pour rappel, la Bceao avait élaboré, en 2016, une stratégie régionale d’inclusion financière dans l’Uemoa. L’objectif recherché étant de proposer un cadre de référence, qui vise le renforcement de l’accès des populations vulnérables aux services financiers dans l’Union.
En décembre 2021, la Bceao avait publié un rapport faisant le point de la situation de l'inclusion financière dans les Etats membres de l'Uemoa, au cours de l'année 2020, en analysant l'évolution des sept indicateurs, retenus par la Banque Centrale. Ces indicateurs sont regroupés autour de trois dimensions de l'inclusion financière, à savoir "l'accès", "l'utilisation" et "l'accessibilité-prix". (…).
A ce titre, le rapport avait révélé que « l'inclusion financière dans l'Uemoa s'est globalement améliorée en 2020, au regard de l'évolution des indicateurs retenus et de la progression de l'indice synthétique d'inclusion financière, qui s'est accru de près de 0,019 point entre 2019 et 2020 pour se situer à 0,520 sur une échelle comprise entre 0 et 1 ».
Bassirou MBAYE
A cet égard, un communiqué de la banque centrale rapporte que les discussions ont porté sur le projet régional d’interopérabilité des services financiers numériques, la promotion et le développement des FinTech, la révision des lois bancaire et de microfinance dans l’Uemoa, la problématique de l’identification des utilisateurs des services financiers, le financement des Petites et Moyennes Entreprises, l’éducation financière et la protection des consommateurs.
La rencontre a également, d’après la Bceao, donné l’opportunité d’aborder les contraintes spécifiques au genre en matière d’accès et d’utilisation des services financiers dans l’Union.
Par ailleurs, la reine Maxima des Pays-Bas a assuré les autorités de la banque centrale quant au soutien des Nations unies pour le développement de l’inclusion financière.
« Merci pour cette importante session d’échanges productifs dans le but de développer davantage l’inclusion financière dans la région. », a notamment inscrit la reine Maxima sur le Livre d’or de la Banque centrale, en marge de sa visite de travail avec les autorités de la Bceao.
La conseillère spéciale du secrétaire général des Nations Unies sur les questions relatives à la finance inclusive a également confié que leur « engagement pour accompagner » les « efforts » des autorités de la Bceao « sera maintenu ».
Pour rappel, la Bceao avait élaboré, en 2016, une stratégie régionale d’inclusion financière dans l’Uemoa. L’objectif recherché étant de proposer un cadre de référence, qui vise le renforcement de l’accès des populations vulnérables aux services financiers dans l’Union.
En décembre 2021, la Bceao avait publié un rapport faisant le point de la situation de l'inclusion financière dans les Etats membres de l'Uemoa, au cours de l'année 2020, en analysant l'évolution des sept indicateurs, retenus par la Banque Centrale. Ces indicateurs sont regroupés autour de trois dimensions de l'inclusion financière, à savoir "l'accès", "l'utilisation" et "l'accessibilité-prix". (…).
A ce titre, le rapport avait révélé que « l'inclusion financière dans l'Uemoa s'est globalement améliorée en 2020, au regard de l'évolution des indicateurs retenus et de la progression de l'indice synthétique d'inclusion financière, qui s'est accru de près de 0,019 point entre 2019 et 2020 pour se situer à 0,520 sur une échelle comprise entre 0 et 1 ».
Bassirou MBAYE