Vera Songwe, Secrétaire exécutive de la CEA.
Selon un communiqué, la Commission économique pour l'Afrique (CEA), par l'intermédiaire de son Centre africain pour la politique commerciale (CAPC), a élaboré cet indice afin de mesurer l'impact de la ZLECA à travers l’impact généré pour les opérateurs privés.
La Secrétaire exécutive de la CEA, Vera Songwe, explique que l’indice pays des entreprises de la ZLECA regroupe les opinions des entreprises en Afrique et permet de classer les pays en fonction de la manière dont ils mettent en œuvre la ZLECA.
«En 2025, si nos économies se portent bien, et si nous faisons en sorte que la ZLECA fonctionne, le marché africain représentera 3 600 milliards de dollars», affirme Vera Songwe. «Ce n'est pas négligeable pour les entreprises», ajoute-t-elle.
Présentant l'Indice en détail, David Luke, le Coordinateur du CAPC, souligne que l’Indice pays des entreprises de la ZLECA est un outil pour mesurer le ressenti des entreprises et évaluer l'impact réel de la ZLECA sur l'environnement des affaires. Il incitera les États membres à apporter les améliorations nécessaires.
«L’indice sera basé sur des enquêtes périodiques du secteur privé, qu’il s’agisse de commerçants transfrontaliers informels ou de grandes entreprises. Cela sera complété par une analyse supplémentaire des données publiques, y compris les barèmes tarifaires et les volumes d'échanges», déclare Luke, soulignant que l'indice permettra aux pays de mettre en avant les meilleurs élèves et identifier les retardataires.
L’indice pays des entreprises de la ZLECA évaluera les pays dans quatre domaines : la mise en œuvre de la ZLECA ; la facilité à faire du commerce ; le commerce pour le développement, les ODD, l'Agenda 2063 et enfin l'impact de la ZLECA.
Le Forum des entreprises de l’Union africaine a réuni des décideurs politiques et des chefs d’entreprises africains pour discuter de leur engagement dans la ZLECA, un accord de libre-échange visant à créer un bloc commercial de 1,2 milliard de personnes en supprimant les tarifs douaniers pour 90 % des marchandises échangées sur le continent et en libéralisant le commerce des services.
Pathé TOURE
La Secrétaire exécutive de la CEA, Vera Songwe, explique que l’indice pays des entreprises de la ZLECA regroupe les opinions des entreprises en Afrique et permet de classer les pays en fonction de la manière dont ils mettent en œuvre la ZLECA.
«En 2025, si nos économies se portent bien, et si nous faisons en sorte que la ZLECA fonctionne, le marché africain représentera 3 600 milliards de dollars», affirme Vera Songwe. «Ce n'est pas négligeable pour les entreprises», ajoute-t-elle.
Présentant l'Indice en détail, David Luke, le Coordinateur du CAPC, souligne que l’Indice pays des entreprises de la ZLECA est un outil pour mesurer le ressenti des entreprises et évaluer l'impact réel de la ZLECA sur l'environnement des affaires. Il incitera les États membres à apporter les améliorations nécessaires.
«L’indice sera basé sur des enquêtes périodiques du secteur privé, qu’il s’agisse de commerçants transfrontaliers informels ou de grandes entreprises. Cela sera complété par une analyse supplémentaire des données publiques, y compris les barèmes tarifaires et les volumes d'échanges», déclare Luke, soulignant que l'indice permettra aux pays de mettre en avant les meilleurs élèves et identifier les retardataires.
L’indice pays des entreprises de la ZLECA évaluera les pays dans quatre domaines : la mise en œuvre de la ZLECA ; la facilité à faire du commerce ; le commerce pour le développement, les ODD, l'Agenda 2063 et enfin l'impact de la ZLECA.
Le Forum des entreprises de l’Union africaine a réuni des décideurs politiques et des chefs d’entreprises africains pour discuter de leur engagement dans la ZLECA, un accord de libre-échange visant à créer un bloc commercial de 1,2 milliard de personnes en supprimant les tarifs douaniers pour 90 % des marchandises échangées sur le continent et en libéralisant le commerce des services.
Pathé TOURE