Selon un communiqué de presse, la déclaration et les décisions ministérielles du Cts reflètent le rôle central des institutions financières multilatérales africaines (Aifma) dans l'architecture financière du continent. L'Aamfi a reçu un fort soutien de la réunion et a été reconnue par le Comité technique spécialisé comme étant essentielle au renforcement du cadre financier continental et à l'avancement de l'Agenda 2063 de l'Union africaine.
Les ministres et les gouverneurs des banques centrales ont réaffirmé le rôle vital des institutions financières multilatérales africaines dans le développement du continent et se sont engagés à renforcer le capital et les notations de crédit des Aifm afin de mobiliser les financements essentiels à la croissance de l'Afrique.
Les ministres et les gouverneurs des banques centrales ont exprimé leur inquiétude quant aux récents rapports remettant en cause le statut de créancier privilégié (Pcs) des A-imf, soulignant l'importance de ce statut dans les relations avec les agences de notation et la sécurisation du financement du développement. La déclaration ministérielle affirme l'importance des droits conférés aux A-mf par les gouvernements africains, y compris le statut de créancier privilégié (Pcs), qui est crucial pour réduire les coûts d'emprunt et approfondir les marchés de capitaux.
Les ministres et les gouverneurs des banques centrales ont exhorté les États membres de l'UA à maintenir leurs engagements envers les Aimf et à respecter leurs obligations conventionnelles. Ils ont également recommandé que l'Assemblée de l'UA donne mandat à la Commission de l'Union africaine (CUA) de collaborer avec l'Aifm pour engager les principales parties prenantes, y compris le G20. Les ministres ont réaffirmé leur engagement à mettre rapidement en place les institutions financières
de l'Union africaine, notamment l'Institut monétaire africain (Ima) et le Mécanisme africain de stabilité financière (Mafs).
Le Conseil des gouverneurs de l'Aifm a noté que l'Alliance illustre l'approche innovante de l'Afrique pour combler les déficits de
financement et assurer un développement durable.
Adou Faye
Les ministres et les gouverneurs des banques centrales ont réaffirmé le rôle vital des institutions financières multilatérales africaines dans le développement du continent et se sont engagés à renforcer le capital et les notations de crédit des Aifm afin de mobiliser les financements essentiels à la croissance de l'Afrique.
Les ministres et les gouverneurs des banques centrales ont exprimé leur inquiétude quant aux récents rapports remettant en cause le statut de créancier privilégié (Pcs) des A-imf, soulignant l'importance de ce statut dans les relations avec les agences de notation et la sécurisation du financement du développement. La déclaration ministérielle affirme l'importance des droits conférés aux A-mf par les gouvernements africains, y compris le statut de créancier privilégié (Pcs), qui est crucial pour réduire les coûts d'emprunt et approfondir les marchés de capitaux.
Les ministres et les gouverneurs des banques centrales ont exhorté les États membres de l'UA à maintenir leurs engagements envers les Aimf et à respecter leurs obligations conventionnelles. Ils ont également recommandé que l'Assemblée de l'UA donne mandat à la Commission de l'Union africaine (CUA) de collaborer avec l'Aifm pour engager les principales parties prenantes, y compris le G20. Les ministres ont réaffirmé leur engagement à mettre rapidement en place les institutions financières
de l'Union africaine, notamment l'Institut monétaire africain (Ima) et le Mécanisme africain de stabilité financière (Mafs).
Le Conseil des gouverneurs de l'Aifm a noté que l'Alliance illustre l'approche innovante de l'Afrique pour combler les déficits de
financement et assurer un développement durable.
Adou Faye