Le directeur général de l’Adepme a indiqué que le programme “DAMEL” vise à accompagner une cohorte pilote de 20 Pme sénégalaises, leur permettant d’avoir un accès à la commande au titre du contenu local, dans le cadre d’une démarche d’excellence opérationnelle mise en œuvre par le cabinet Capeo.
Il s’agit, pour Idrissa Diabira, d’initier une nouvelle approche de renforcement de la compétitivité du secteur privé national.
Selon l’Adepme, l’excellence opérationnelle est “une méthode d'amélioration continue utilisée dans les industries de pointe (manufacturière, pétrolière, construction, santé, etc.) et aussi dans les institutions publiques pour maximiser la valeur client, l'expérience de collaboration et la productivité tout en minimisant le gaspillage et les inefficacités”.
Les entreprises de cette première cohorte ont été présélectionnées en lien avec le St-Cnscl suite à un avis à manifestation d'intérêt dans le cadre du Programme d'appui à l’accélération industrielle à la compétitivité et à l’emploi (Paaice), financé par la Banque Africaine de Développement (Bad), dont le volet assistance technique est mis en œuvre l’Adepme.
Le président directeur général de Capeo a souligné que son cabinet a la charge, dans le cadre de ce programme Damel, d’accompagner les entreprises dans une démarche « d’excellence opérationnelle en apportant les ‘’process’’, le cheminement, le cadre ». Tout cela, a-t-il ajouté, à travers un plan bien spécifique qui part d’un diagnostic pour connaitre le niveau de maturité des entreprises.
Le Capeo va également apporter « une formation à la fois pour les managers que pour les opérationnels sur le terrain et créer un système de management qui va être déployé sur ces entreprises, leur permettant d’avoir une certification internationale mais aussi une certification selon le référentiel Capeo sur la performance ».
Pour Ala Samba Timéra, les entreprises vont être amenées à trois niveaux de performance. Le premier niveau est, selon lui, celui de l’admission au référentiel Capeo. En effet, M. Timera soutient que quand les entreprises atteignent ce niveau, cela veut dire qu’elles sont en mesure d’être certifiées iso 9001; 14000 ou 45000.
Cela n’est, d’après lui, qu’un cadre pour pouvoir se donner la légitimité par rapport au besoin international. Capeo va plus loin, fait-il savoir. « Il faut atteindre un deuxième niveau : celui de la performance. Une entreprise peut être certifiée sans être performante. L’idée c’est de les amener à la performance », explique le Pdg de Capeo.
Ala Samba Timera renseigne enfin que le troisième niveau est celui d’acquisition de l’excellence.
Bassirou MBAYE
Il s’agit, pour Idrissa Diabira, d’initier une nouvelle approche de renforcement de la compétitivité du secteur privé national.
Selon l’Adepme, l’excellence opérationnelle est “une méthode d'amélioration continue utilisée dans les industries de pointe (manufacturière, pétrolière, construction, santé, etc.) et aussi dans les institutions publiques pour maximiser la valeur client, l'expérience de collaboration et la productivité tout en minimisant le gaspillage et les inefficacités”.
Les entreprises de cette première cohorte ont été présélectionnées en lien avec le St-Cnscl suite à un avis à manifestation d'intérêt dans le cadre du Programme d'appui à l’accélération industrielle à la compétitivité et à l’emploi (Paaice), financé par la Banque Africaine de Développement (Bad), dont le volet assistance technique est mis en œuvre l’Adepme.
Le président directeur général de Capeo a souligné que son cabinet a la charge, dans le cadre de ce programme Damel, d’accompagner les entreprises dans une démarche « d’excellence opérationnelle en apportant les ‘’process’’, le cheminement, le cadre ». Tout cela, a-t-il ajouté, à travers un plan bien spécifique qui part d’un diagnostic pour connaitre le niveau de maturité des entreprises.
Le Capeo va également apporter « une formation à la fois pour les managers que pour les opérationnels sur le terrain et créer un système de management qui va être déployé sur ces entreprises, leur permettant d’avoir une certification internationale mais aussi une certification selon le référentiel Capeo sur la performance ».
Pour Ala Samba Timéra, les entreprises vont être amenées à trois niveaux de performance. Le premier niveau est, selon lui, celui de l’admission au référentiel Capeo. En effet, M. Timera soutient que quand les entreprises atteignent ce niveau, cela veut dire qu’elles sont en mesure d’être certifiées iso 9001; 14000 ou 45000.
Cela n’est, d’après lui, qu’un cadre pour pouvoir se donner la légitimité par rapport au besoin international. Capeo va plus loin, fait-il savoir. « Il faut atteindre un deuxième niveau : celui de la performance. Une entreprise peut être certifiée sans être performante. L’idée c’est de les amener à la performance », explique le Pdg de Capeo.
Ala Samba Timera renseigne enfin que le troisième niveau est celui d’acquisition de l’excellence.
Bassirou MBAYE