Ce COS – PETROGAZ, note le Président Macky Sall qui l’a installé, est un organe de pilotage stratégique, qui a pour mission d’assister le Président de la République et le Gouvernement dans la définition de la politique de développement du secteur pétrolier et gazier et d’assurer le suivi de la mise en œuvre, à travers son Secrétariat permanent qui en est l’outil de supervision.
Le comité doit permettre d’assurer une impulsion dynamique du secteur de l’Energie et un contrôle stratégique du processus de valorisation des réserves pétrolières et gazières, à travers notamment, le renforcement des actions de l’initiative pour la transparence des industries extractives (ITIE).
A ce titre, le COS- PETROGAZ, est chargé, en rapport, avec le Ministère de l’Energie :d’élaborer un plan directeur de développement pétrolier et gazier et un schéma d’utilisation de ces ressources en articulation avec les axes et les objectifs du Plan Sénégal Emergent;de constituer une nouvelle source de financement social par le renforcement des capacités budgétaires de l’Etat;de rétablir nos équilibres commerciaux.
De même, le comité s’appuiera également sur les meilleures expertises nationales et internationales sur tous les aspects de l’écosystème gazier et pétrolier, notamment aux plans technique, économique, financier, juridique environnemental et autres.
A la tête du COS-PETROGAZ, le chef de l’Etat a placé Ousmane Ndiaye un cadre hautement qualifié dans le domaine des Mines et Hydrocarbures. Il est secondé par, un jeune cadre, Mamadou Fall Kane, formé, entre autres, à l’Ecole Polytechnique de Paris.
La feuille de route du COS-PETROGAZ dans un proche lointain est de me soumettre un projet de loi portant sur une utilisation pertinente des revenus pétroliers, en tenant compte de nos objectifs de développement et des principes de transparence et d’équité.
Il s’agira de planifier l’utilisation des ressources futures avec une clef de répartition entre ce qui ira au Budget d’investissement et de fonctionnement et la part réservé aux générations futures, logées au Fonds Souverain d’investissements Stratégiques (FONSIS).
Dans cette perspective, annonce le chef de l’Etat, le Conseil d’Administration du FONSIS sera modifié et les Institutions Constitutionnelles y seront représentées. Dans ce sens, le FONSIS devra faire, chaque année, devant l’Assemblée Nationale, le point sur sa gestion et ses résultats.
Pathé TOURE
Le comité doit permettre d’assurer une impulsion dynamique du secteur de l’Energie et un contrôle stratégique du processus de valorisation des réserves pétrolières et gazières, à travers notamment, le renforcement des actions de l’initiative pour la transparence des industries extractives (ITIE).
A ce titre, le COS- PETROGAZ, est chargé, en rapport, avec le Ministère de l’Energie :d’élaborer un plan directeur de développement pétrolier et gazier et un schéma d’utilisation de ces ressources en articulation avec les axes et les objectifs du Plan Sénégal Emergent;de constituer une nouvelle source de financement social par le renforcement des capacités budgétaires de l’Etat;de rétablir nos équilibres commerciaux.
De même, le comité s’appuiera également sur les meilleures expertises nationales et internationales sur tous les aspects de l’écosystème gazier et pétrolier, notamment aux plans technique, économique, financier, juridique environnemental et autres.
A la tête du COS-PETROGAZ, le chef de l’Etat a placé Ousmane Ndiaye un cadre hautement qualifié dans le domaine des Mines et Hydrocarbures. Il est secondé par, un jeune cadre, Mamadou Fall Kane, formé, entre autres, à l’Ecole Polytechnique de Paris.
La feuille de route du COS-PETROGAZ dans un proche lointain est de me soumettre un projet de loi portant sur une utilisation pertinente des revenus pétroliers, en tenant compte de nos objectifs de développement et des principes de transparence et d’équité.
Il s’agira de planifier l’utilisation des ressources futures avec une clef de répartition entre ce qui ira au Budget d’investissement et de fonctionnement et la part réservé aux générations futures, logées au Fonds Souverain d’investissements Stratégiques (FONSIS).
Dans cette perspective, annonce le chef de l’Etat, le Conseil d’Administration du FONSIS sera modifié et les Institutions Constitutionnelles y seront représentées. Dans ce sens, le FONSIS devra faire, chaque année, devant l’Assemblée Nationale, le point sur sa gestion et ses résultats.
Pathé TOURE