Le nouvel aéroport international, dont la construction s’étalera sur dix ans, comprendra plusieurs terminaux passagers, quatre pistes d’atterrissage, et une cité aéroportuaire, a-t-on ajouté de même source. Il sera le deuxième plus grand projet d’infrastructures en termes d’investissements requis, après le barrage de la Grande Renaissance, qui est en construction sur le Nil Bleu (4,8 milliards de dollars).
La construction du nouvel aéroport s’ajoute au projet d’extension de l’actuel aéroport international de Bole à Addis-Abeba, dont le coût s’élève à 350 millions de dollars. Ce projet d’extension devrait porter la capacité de l’aéroport de Bole, de 6 millions de passagers par an actuellement, à 22 millions en 2018.
Les deux grands chantiers aéroportuaires se situent dans le cadre de l’ambition du gouvernement éthiopien de faire d’Addis Abeba dans l'un des plus grands hubs de transport aérien en Afrique.
Le gouvernement espère aussi s’appuyer sur ces infrastructures aéroportuaires modernes pour faire émerger le pays en tant que destination touristique privilégiée et pôle industriel de premier plan.
Le nouvel méga-aéroport devrait, par ailleurs, contribuer à la réalisation de l’ambition de la compagnie aérienne publique Ethiopian Airlines de devenir le premier transporteur en Afrique.
La compagnie, qui dessert actuellement 91 destinations internationales, projette de faire passer sa flotte de 77 avions actuellement à 140 appareils en 2025, année durant laquelle le transporteur prévoit de générer un chiffre d’affaires de plus de 10 milliards de dollars.
Ecofin
La construction du nouvel aéroport s’ajoute au projet d’extension de l’actuel aéroport international de Bole à Addis-Abeba, dont le coût s’élève à 350 millions de dollars. Ce projet d’extension devrait porter la capacité de l’aéroport de Bole, de 6 millions de passagers par an actuellement, à 22 millions en 2018.
Les deux grands chantiers aéroportuaires se situent dans le cadre de l’ambition du gouvernement éthiopien de faire d’Addis Abeba dans l'un des plus grands hubs de transport aérien en Afrique.
Le gouvernement espère aussi s’appuyer sur ces infrastructures aéroportuaires modernes pour faire émerger le pays en tant que destination touristique privilégiée et pôle industriel de premier plan.
Le nouvel méga-aéroport devrait, par ailleurs, contribuer à la réalisation de l’ambition de la compagnie aérienne publique Ethiopian Airlines de devenir le premier transporteur en Afrique.
La compagnie, qui dessert actuellement 91 destinations internationales, projette de faire passer sa flotte de 77 avions actuellement à 140 appareils en 2025, année durant laquelle le transporteur prévoit de générer un chiffre d’affaires de plus de 10 milliards de dollars.
Ecofin