Le versement deuxième tranche de ce même crédit devrait avoir lieu dans deux semaines, selon Mbuvi Ngunze, le directeur général de la compagnie détenue à hauteur de 27% par Air France-KLM, qui s’exprimait lors d’une conférence de presse.
M. Ngunze a également indiqué que le crédit Afreximbank devrait permettre au transporteur de bénéficier une assise financière plus solide.
«Notre objectif dans les trois à six prochains mois est sur l'obtention d'un financement durable», a-t-il dit.
Le crédit-relais est un prêt à court terme que contracte une entreprise dans l'attente d'une recette future qui assurera son remboursement : augmentation de capital, emprunt obligataire, cession d'une filiale.
Kenya Airways se débat depuis trois exercices dans des difficultés financières consécutives à l’effondrement de l’activité touristique au Kenya, dans le sillage des attentats meurtriers perpétrés par des groupes armés islamistes.
Le gouvernement kenyan avait annoncé, début août dernier, que la compagnie pourrait nécessiter un plan de sauvetage d’un montant situé entre 500 et 600 millions de dollars, indiquant que le montant définitif du plan de sauvetage et la forme de la recapitalisation de la compagnie dépendront d'un plan de redressement qui est actuellement en cours d’élaboration par les cabinets de consulting McKinsey et Seabury.
Ecofin
M. Ngunze a également indiqué que le crédit Afreximbank devrait permettre au transporteur de bénéficier une assise financière plus solide.
«Notre objectif dans les trois à six prochains mois est sur l'obtention d'un financement durable», a-t-il dit.
Le crédit-relais est un prêt à court terme que contracte une entreprise dans l'attente d'une recette future qui assurera son remboursement : augmentation de capital, emprunt obligataire, cession d'une filiale.
Kenya Airways se débat depuis trois exercices dans des difficultés financières consécutives à l’effondrement de l’activité touristique au Kenya, dans le sillage des attentats meurtriers perpétrés par des groupes armés islamistes.
Le gouvernement kenyan avait annoncé, début août dernier, que la compagnie pourrait nécessiter un plan de sauvetage d’un montant situé entre 500 et 600 millions de dollars, indiquant que le montant définitif du plan de sauvetage et la forme de la recapitalisation de la compagnie dépendront d'un plan de redressement qui est actuellement en cours d’élaboration par les cabinets de consulting McKinsey et Seabury.
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