‘’La certification aérodrome de l’AIBD, qui est une exigence de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI), depuis la publication, le 27 novembre 2003, de la quatrième édition de l’annexe 14, volume 1 à la Convention de Chicago relative à l’aviation civile, contribue considérablement à promouvoir la destination Sénégal’’, a notamment dit Mme Seck. Elle a tenu ces propos lors de la cérémonie officielle de remise du certificat d’aérodrome de l’AIBD.
Pour sa part, le directeur général de la société de ce nouvel aéroport, Limak-AIBD-Summa (LAS), Xavier Mary, a déclaré que ce certificat atteste que l’organisation et la documentation des processus destinés à garantir la sécurité des installations aéroportuaires, sont conformes aux dispositions réglementaires établies par l’Etat et répondent aux exigences de l’OACI qui a élaboré des normes et des recommandations applicables aux processus des aérodromes ayant une incidence sur la sécurité.
‘’Les processus pertinents doivent être répertoriés dans un manuel d’aérodrome qui fait également office de référence pour le système de gestion de la sécurité. Ce dernier décrit la façon dont une organisation identifie, évalue et maîtrise les risques existants’’, a fait savoir Xavier Mary, d’après qui, la certification est ‘’un élément important’’ pour l’image et la réputation de l’aéroport et met en évidence la crédibilité et celle de tous les acteurs du secteur.
‘’Le travail ne doit pas s’arrêter à l’obtention de certificat, nous devons veiller au maintien de notre certificat et à son évolution ; tel un pilote d’avion, nous devons surveiller continuellement notre altitude et notre vitesse. Surtout que, dès la fin de ce mois de décembre, nous allons accueillir une nouvelle équipe d’inspecteurs’’, a souligné le DG de LAS.
De son côté, Mouhamed Moussa, directeur général de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne (ASECNA), le contexte actuel de l’aviation civile rappelle l’importance cruciale’’ de certifier les aérodromes.
‘’Les premiers aérodromes internationaux dans l’espace aérien géré par l’ASECNA ont commencé à être certifiés, notamment ceux de Lomé, d’Abidjan, de Niamey et de Bamako. Aujourd’hui, c’est l’AIBD qui est certifié’’, a relevé le DG de l’ASECNA, pour qui, ‘’étant l’un des principaux fournisseurs de services de navigation aérienne de la région Afrique et Océan indien (AFI), et assurant ou participant, par ailleurs, à la gestion des aérogares qui lui ont été confiés par ses Etats-membres, l’ASECNA est un partenaire dans la démarche de certification des aérodromes et de son maintien’’.
Conformément à son mandat, l’OACI, agence spécialisée des Nations-unies adopte et amende, selon les nécessités, les normes et pratiques recommandées visant à assurer le plus haut degré de conformité dans les règlements, les normes, les procédures dans toutes les matières pour lesquelles une telle uniformité facilite et améliore la navigation aérienne, a fait noter son directeur régional, Mam Sait Jallow.
‘’Il faut rappeler que l’exigence de certification des aérodromes figure parmi les objectifs cibles de sécurité définis par la Conférence ministérielle d’Abuja (Nigéria) en juillet 2012 et entérinés par l’Assemblée générale des Chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine (UA) en janvier 2013’’, a-t-il expliqué.
Il a précisé qu’en notifiant la certification d’un aéroport international, l’Etat déclare que l’aérodrome répond, de manière satisfaisante, à une importante exigence qui contribue à la réduction et à l’atténuation des risques pour la sécurité du transport aérien.
Serigne Makhtar Fall
Pour sa part, le directeur général de la société de ce nouvel aéroport, Limak-AIBD-Summa (LAS), Xavier Mary, a déclaré que ce certificat atteste que l’organisation et la documentation des processus destinés à garantir la sécurité des installations aéroportuaires, sont conformes aux dispositions réglementaires établies par l’Etat et répondent aux exigences de l’OACI qui a élaboré des normes et des recommandations applicables aux processus des aérodromes ayant une incidence sur la sécurité.
‘’Les processus pertinents doivent être répertoriés dans un manuel d’aérodrome qui fait également office de référence pour le système de gestion de la sécurité. Ce dernier décrit la façon dont une organisation identifie, évalue et maîtrise les risques existants’’, a fait savoir Xavier Mary, d’après qui, la certification est ‘’un élément important’’ pour l’image et la réputation de l’aéroport et met en évidence la crédibilité et celle de tous les acteurs du secteur.
‘’Le travail ne doit pas s’arrêter à l’obtention de certificat, nous devons veiller au maintien de notre certificat et à son évolution ; tel un pilote d’avion, nous devons surveiller continuellement notre altitude et notre vitesse. Surtout que, dès la fin de ce mois de décembre, nous allons accueillir une nouvelle équipe d’inspecteurs’’, a souligné le DG de LAS.
De son côté, Mouhamed Moussa, directeur général de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne (ASECNA), le contexte actuel de l’aviation civile rappelle l’importance cruciale’’ de certifier les aérodromes.
‘’Les premiers aérodromes internationaux dans l’espace aérien géré par l’ASECNA ont commencé à être certifiés, notamment ceux de Lomé, d’Abidjan, de Niamey et de Bamako. Aujourd’hui, c’est l’AIBD qui est certifié’’, a relevé le DG de l’ASECNA, pour qui, ‘’étant l’un des principaux fournisseurs de services de navigation aérienne de la région Afrique et Océan indien (AFI), et assurant ou participant, par ailleurs, à la gestion des aérogares qui lui ont été confiés par ses Etats-membres, l’ASECNA est un partenaire dans la démarche de certification des aérodromes et de son maintien’’.
Conformément à son mandat, l’OACI, agence spécialisée des Nations-unies adopte et amende, selon les nécessités, les normes et pratiques recommandées visant à assurer le plus haut degré de conformité dans les règlements, les normes, les procédures dans toutes les matières pour lesquelles une telle uniformité facilite et améliore la navigation aérienne, a fait noter son directeur régional, Mam Sait Jallow.
‘’Il faut rappeler que l’exigence de certification des aérodromes figure parmi les objectifs cibles de sécurité définis par la Conférence ministérielle d’Abuja (Nigéria) en juillet 2012 et entérinés par l’Assemblée générale des Chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine (UA) en janvier 2013’’, a-t-il expliqué.
Il a précisé qu’en notifiant la certification d’un aéroport international, l’Etat déclare que l’aérodrome répond, de manière satisfaisante, à une importante exigence qui contribue à la réduction et à l’atténuation des risques pour la sécurité du transport aérien.
Serigne Makhtar Fall