‘’Le premier pilier sur lequel repose la stratégie hub aérien et touristique est une autorité de l’aviation civile renforcée, dotée de toutes les prérogatives nécessaires à la réalisation de sa mission pour lui permettre de tenir pleinement son rôle’’, a-t-il indiqué.
M. Lakh s’exprimait à Somone, dans le département de Mbour, où il procédait au lancement des travaux d’un atelier de pré-validation des projets de plan stratégique de développement 2021-2025 et de contrat de performance 2022-2024, à l’initiative de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM).
‘’Oui, il nous faut une autorité d’aviation civile forte pour contribuer de manière déterminante à la réalisation des projets dans le cadre du hub aérien. Parmi ces projets, il y a l’ouverture prochaine d’une Académie des métiers de l’aviation ou encore la construction d’un centre de maintenance aéronautique à l’AIBD qui doivent tous obéir aux normes et pratiques recommandées en la matière dont l’ANACIM est la garante au niveau national’’, a-t-il dit.
Ce qui requiert, selon lui, de disposer de moyens à la fois humains et matériels ‘’considérables’’ pour s’assurer du respect de la réglementation à travers des activités de réglementation, de surveillance continue et d’exploitation dans le domaine de l’aviation civile et de la météorologie.
‘’Comme je l’ai dit lors de ma visite de travail à l’ANACIM, l’Agence est la pierre angulaire de tout le système aéronautique sénégalais’’, a-t-il souligné, assurant de l’accompagnement de la tutelle pour faire de l’ANACIM, l’autorité de référence en matière d’aviation civile.
Makhtar Lakh assure que l’apport des autorités n’aura pas l’impact escompté en dehors de la rigueur nécessaire du Top management de l’ANACIM, ainsi que de l’engagement de tous les agents.
A cet effet, il les invite, en parfaite synergie avec le Syndicat des travailleurs de l’aéronautique civile (SYTAC), à ‘’travailler main dans la main’’ pour l’atteinte des objectifs en matière de gestion, en matière technique et de satisfaction des missions de service public fixés dans le contrat de performance.
‘’C’est seulement sous la condition d’un climat apaisé et une intériorisation de toutes les contraintes possibles que des résultats satisfaisants pourront être enregistrés. Si l’apport de tout un chacun compte au plan interne, il ne faudrait pas en oublier pour autant le partenariat avec les autres entités car, qui dit hub parle de collaboration pour atteindre les objectifs dans l’intérêt bien compris du Sénégal, particulièrement de son système de transport aérien’’, a insisté M. Lakh.
Il a invité toutes les entités du MTTA, chacune dans son domaine, à œuvrer à la performance et à l’efficacité pour placer le Sénégal dans les meilleures dispositions de relancer le tourisme et les transports aériens, soulignant que l’ANACIM est un précurseur au niveau du MTTA car ayant déjà eu à signer, auparavant, d’autres contrats de performance et travaille aujourd’hui pour la signature d’un nouveau contrat de performance.
‘’Le monde aéronautique entier travaille dans la dynamique de relancer l’activité de transport aérien, en raison de l’impact de la pandémie de la Covid-19. Le Sénégal n’est pas en reste’’, a-t-il indiqué au démarrage des travaux de l’atelier qui ont été précédés, mardi, par une session de formation sur la conduite des projets dans le contexte de la gestion axée sur les résultats (GAR).
Pour le directeur général de l’ANACIM, Sidy Gueye, il a signalé que depuis quelques temps, son agence a initié, dans sa démarche, l’’’approche projet’’ pour l’atteinte dans la performance des résultats fixés dans les nombreux projets déroulés avec plusieurs partenaires.
‘’C’est grâce à cette démarche basée sur la performance que nous atteindrons ensemble l’objectif principal du projet, c’est-à-dire faire du Sénégal le premier hub aérien et touristique en Afrique de l’Ouest’’, a fait valoir Makhtar Lakh.
Cela va passer, à son avis, par la réalisation d’ambitions de hisser la Compagnie nationale Air Sénégal en tête de peloton des compagnies aériennes d’Afrique de l’Ouest, pour accueillir cinq millions de passagers par an à partir de 2025 à l’aéroport Blaise Diagne, dix millions par an en 2035 et de gérer plusieurs aéroports régionaux pour offrir une ‘’mobilité aérienne jamais égalée’’ sur le territoire national, moderniser le transport aérien, etc.
Serigne Makhtar Fall
M. Lakh s’exprimait à Somone, dans le département de Mbour, où il procédait au lancement des travaux d’un atelier de pré-validation des projets de plan stratégique de développement 2021-2025 et de contrat de performance 2022-2024, à l’initiative de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM).
‘’Oui, il nous faut une autorité d’aviation civile forte pour contribuer de manière déterminante à la réalisation des projets dans le cadre du hub aérien. Parmi ces projets, il y a l’ouverture prochaine d’une Académie des métiers de l’aviation ou encore la construction d’un centre de maintenance aéronautique à l’AIBD qui doivent tous obéir aux normes et pratiques recommandées en la matière dont l’ANACIM est la garante au niveau national’’, a-t-il dit.
Ce qui requiert, selon lui, de disposer de moyens à la fois humains et matériels ‘’considérables’’ pour s’assurer du respect de la réglementation à travers des activités de réglementation, de surveillance continue et d’exploitation dans le domaine de l’aviation civile et de la météorologie.
‘’Comme je l’ai dit lors de ma visite de travail à l’ANACIM, l’Agence est la pierre angulaire de tout le système aéronautique sénégalais’’, a-t-il souligné, assurant de l’accompagnement de la tutelle pour faire de l’ANACIM, l’autorité de référence en matière d’aviation civile.
Makhtar Lakh assure que l’apport des autorités n’aura pas l’impact escompté en dehors de la rigueur nécessaire du Top management de l’ANACIM, ainsi que de l’engagement de tous les agents.
A cet effet, il les invite, en parfaite synergie avec le Syndicat des travailleurs de l’aéronautique civile (SYTAC), à ‘’travailler main dans la main’’ pour l’atteinte des objectifs en matière de gestion, en matière technique et de satisfaction des missions de service public fixés dans le contrat de performance.
‘’C’est seulement sous la condition d’un climat apaisé et une intériorisation de toutes les contraintes possibles que des résultats satisfaisants pourront être enregistrés. Si l’apport de tout un chacun compte au plan interne, il ne faudrait pas en oublier pour autant le partenariat avec les autres entités car, qui dit hub parle de collaboration pour atteindre les objectifs dans l’intérêt bien compris du Sénégal, particulièrement de son système de transport aérien’’, a insisté M. Lakh.
Il a invité toutes les entités du MTTA, chacune dans son domaine, à œuvrer à la performance et à l’efficacité pour placer le Sénégal dans les meilleures dispositions de relancer le tourisme et les transports aériens, soulignant que l’ANACIM est un précurseur au niveau du MTTA car ayant déjà eu à signer, auparavant, d’autres contrats de performance et travaille aujourd’hui pour la signature d’un nouveau contrat de performance.
‘’Le monde aéronautique entier travaille dans la dynamique de relancer l’activité de transport aérien, en raison de l’impact de la pandémie de la Covid-19. Le Sénégal n’est pas en reste’’, a-t-il indiqué au démarrage des travaux de l’atelier qui ont été précédés, mardi, par une session de formation sur la conduite des projets dans le contexte de la gestion axée sur les résultats (GAR).
Pour le directeur général de l’ANACIM, Sidy Gueye, il a signalé que depuis quelques temps, son agence a initié, dans sa démarche, l’’’approche projet’’ pour l’atteinte dans la performance des résultats fixés dans les nombreux projets déroulés avec plusieurs partenaires.
‘’C’est grâce à cette démarche basée sur la performance que nous atteindrons ensemble l’objectif principal du projet, c’est-à-dire faire du Sénégal le premier hub aérien et touristique en Afrique de l’Ouest’’, a fait valoir Makhtar Lakh.
Cela va passer, à son avis, par la réalisation d’ambitions de hisser la Compagnie nationale Air Sénégal en tête de peloton des compagnies aériennes d’Afrique de l’Ouest, pour accueillir cinq millions de passagers par an à partir de 2025 à l’aéroport Blaise Diagne, dix millions par an en 2035 et de gérer plusieurs aéroports régionaux pour offrir une ‘’mobilité aérienne jamais égalée’’ sur le territoire national, moderniser le transport aérien, etc.
Serigne Makhtar Fall