La délégation sénégalaise est conduite par le Dr Moustapha Djitté, Directeur général de l'Arcop. Elle inclut Oumar Sakho, Directeur de la Direction centrale des marchés publics (Dcmp), Mme Niang Poulmery Ba, Directrice de la formation et de l’appui technique de l’Arcop, et Mme Tall Henriette Diop, Coordonnatrice générale de la Cellule d'enquête, d'inspection et d'instruction des recours de l’organe de régulation.
Cet événement, explique-t-on, représente une étape clé pour promouvoir des pratiques d'achats publics plus durables, adaptées aux besoins et aux défis de l'Afrique, contribuant ainsi à une meilleure gouvernance et à un développement économique plus résilient.
Le Racop est une plateforme d’apprentissage et de réseautage pour ses pays membres, réunissant les responsables des organes de contrôle et de régulation de la commande publique en Afrique. Créé en 2018 à Lomé, Togo, le Racop regroupe aujourd'hui 43 pays africains. Il est structuré en cinq sous-réseaux régionaux : Afrique de l’Est, Afrique de l’Ouest, Afrique du Nord, Afrique du Sud et Afrique centrale. Son objectif principal est de favoriser le développement et l'intégration de la commande publique grâce à la coopération active entre ses membres.
Selon le communiqué, la conférence de cette année, organisée conjointement par l'organe de régulation des marchés publics du Rwanda avec le soutien de la Banque mondiale, de la Banque africaine de développement, de la Banque islamique de développement et du Secrétariat Technique du Racop, s'articule autour du thème « Les marchés publics durables pour la résilience économique de l'Afrique ». Ce thème, d’une importance cruciale pour les pays africains, offre aux participants une opportunité d’explorer les voies de coopération régionale et les moyens de contribuer au développement durable en Afrique.
Les participants bénéficieront de discussions variées, abordant les outils modernes pour la commande publique dans plusieurs domaines clés : développement socioéconomique, promotion de l'égalité des genres, prévention de la corruption et investissement dans le capital humain pour renforcer les performances du système de commande publique. Des discussions en groupes et des sessions parallèles permettront d’approfondir les problématiques actuelles de la commande publique en Afrique.
La rencontre, qui réunit régulateurs, contrôleurs et experts en commande publique, vise à formuler des recommandations et à identifier des pistes d’amélioration pour le droit et les pratiques en matière de gestion de la commande publique.
Adou FAYE
Cet événement, explique-t-on, représente une étape clé pour promouvoir des pratiques d'achats publics plus durables, adaptées aux besoins et aux défis de l'Afrique, contribuant ainsi à une meilleure gouvernance et à un développement économique plus résilient.
Le Racop est une plateforme d’apprentissage et de réseautage pour ses pays membres, réunissant les responsables des organes de contrôle et de régulation de la commande publique en Afrique. Créé en 2018 à Lomé, Togo, le Racop regroupe aujourd'hui 43 pays africains. Il est structuré en cinq sous-réseaux régionaux : Afrique de l’Est, Afrique de l’Ouest, Afrique du Nord, Afrique du Sud et Afrique centrale. Son objectif principal est de favoriser le développement et l'intégration de la commande publique grâce à la coopération active entre ses membres.
Selon le communiqué, la conférence de cette année, organisée conjointement par l'organe de régulation des marchés publics du Rwanda avec le soutien de la Banque mondiale, de la Banque africaine de développement, de la Banque islamique de développement et du Secrétariat Technique du Racop, s'articule autour du thème « Les marchés publics durables pour la résilience économique de l'Afrique ». Ce thème, d’une importance cruciale pour les pays africains, offre aux participants une opportunité d’explorer les voies de coopération régionale et les moyens de contribuer au développement durable en Afrique.
Les participants bénéficieront de discussions variées, abordant les outils modernes pour la commande publique dans plusieurs domaines clés : développement socioéconomique, promotion de l'égalité des genres, prévention de la corruption et investissement dans le capital humain pour renforcer les performances du système de commande publique. Des discussions en groupes et des sessions parallèles permettront d’approfondir les problématiques actuelles de la commande publique en Afrique.
La rencontre, qui réunit régulateurs, contrôleurs et experts en commande publique, vise à formuler des recommandations et à identifier des pistes d’amélioration pour le droit et les pratiques en matière de gestion de la commande publique.
Adou FAYE