Les dix compagnies pétrolières mondiales les plus influentes se frottent donc les mains et louent allègrement le Dieu Pétrole qui leur permet de brasser des milliers de milliards de dollars par an.
D’après toujours le site qui rend public une étude intitulée : L'économie pétrolière : Vers quel avenir ? il informe que les Chinois, Britanniques, Français ou encore Brésiliens des grands compagnies aux noms désormais célèbre tels Shell, BP ou Total ont une manne financière immense aux dépens d'une population attachée aux énergies fossiles qui ne connaît pas vraiment la crise malgré les initiatives "vertes" et le développement d'énergies alternatives.
«Avec des enjeux géopolitiques certains et sensibles, ainsi qu'une répartition géographique inégale des ressources, les pays limitrophes des grands producteurs comme les pays du Golfe, habitués à payer moins de 2 dollars le gallon (3,79 litres) ne peuvent que s'estimer chanceux face aux Européens, aux Turcs et aux Chinois, obligés de débourser jusqu'à quatre fois plus !», note l’étude.
Ceci s’explique par le fait que le marché est dépendant de facteurs divers affectant directement le prix de cette essence essentielle à la bonne marche d'un pays et de son économie toute entière : les instabilités politiques, les influentes décisions de l'OPEP, l'état global des marchés financier, la météo ou encore les taux de change du dollar font la pluie et le beau temps en ce qui concerne le pétrole.
Pathé TOURE
D’après toujours le site qui rend public une étude intitulée : L'économie pétrolière : Vers quel avenir ? il informe que les Chinois, Britanniques, Français ou encore Brésiliens des grands compagnies aux noms désormais célèbre tels Shell, BP ou Total ont une manne financière immense aux dépens d'une population attachée aux énergies fossiles qui ne connaît pas vraiment la crise malgré les initiatives "vertes" et le développement d'énergies alternatives.
«Avec des enjeux géopolitiques certains et sensibles, ainsi qu'une répartition géographique inégale des ressources, les pays limitrophes des grands producteurs comme les pays du Golfe, habitués à payer moins de 2 dollars le gallon (3,79 litres) ne peuvent que s'estimer chanceux face aux Européens, aux Turcs et aux Chinois, obligés de débourser jusqu'à quatre fois plus !», note l’étude.
Ceci s’explique par le fait que le marché est dépendant de facteurs divers affectant directement le prix de cette essence essentielle à la bonne marche d'un pays et de son économie toute entière : les instabilités politiques, les influentes décisions de l'OPEP, l'état global des marchés financier, la météo ou encore les taux de change du dollar font la pluie et le beau temps en ce qui concerne le pétrole.
Pathé TOURE