Les participants viennent du Sénégal (Anacim, Haas, Police), du Gabon, du Togo, du Niger et du Cameroun. Ces stagiaires qui sont des acteurs de la sûreté aérienne sont encadrés par des formateurs de l’Enac en provenance de Toulouse. L’atelier est organisé par la Cellule régionale d’assistance à la sûreté pour l’aviation civile (Crasac) basée à l’Ambassade de France au Sénégal et qui anime un réseau de conseillers en sûreté et immigration dans 18 pays essentiellement en Afrique de l’ouest mais aussi à Madagascar et aux Comores.
En lisant ce jeudi 21 octobre devant les participants, le mot du directeur général de l’Anacim, Sidy Guèye, l’inspecteur principal Bocar Bâ a souligné que « l’analyse comportementale en milieu aéroportuaire n’est pas seulement l’affaire des agents de sûreté en service aux différents postes de travail. Elle est en même temps, une activité qui concerne tous les acteurs. Elle s’inscrit en particulier, dans une logique d’application des règles de décision relatives au signalement et à la levée de doute ». Selon M. Ba, l’autorité de l’aviation civile accorde un intérêt particulier en ce sens que la matière concernée, constitue une activité à laquelle, le Sénégal tient à accorder une place essentielle dans le dispositif de protection des opérations aéroportuaires et de prévention des actes d’intervention illicite.
« C’est pourquoi, après avoir mis beaucoup d’efforts dans le développement des principaux éléments de base de la défense en profondeur à travers, les règlements, les programmes, la protection physique des installations, le contrôle des accès, l’inspection-filtrage, etc., il est devenu impératif au niveau de nos aéroports, de renforcer davantage les éléments additionnels qui peuvent également apporter une importante plus-value aux systèmes de sûreté », ajoute M. Ba au nom du directeur général de l’Anacim, Sidy Guèye.
Adou FAYE
En lisant ce jeudi 21 octobre devant les participants, le mot du directeur général de l’Anacim, Sidy Guèye, l’inspecteur principal Bocar Bâ a souligné que « l’analyse comportementale en milieu aéroportuaire n’est pas seulement l’affaire des agents de sûreté en service aux différents postes de travail. Elle est en même temps, une activité qui concerne tous les acteurs. Elle s’inscrit en particulier, dans une logique d’application des règles de décision relatives au signalement et à la levée de doute ». Selon M. Ba, l’autorité de l’aviation civile accorde un intérêt particulier en ce sens que la matière concernée, constitue une activité à laquelle, le Sénégal tient à accorder une place essentielle dans le dispositif de protection des opérations aéroportuaires et de prévention des actes d’intervention illicite.
« C’est pourquoi, après avoir mis beaucoup d’efforts dans le développement des principaux éléments de base de la défense en profondeur à travers, les règlements, les programmes, la protection physique des installations, le contrôle des accès, l’inspection-filtrage, etc., il est devenu impératif au niveau de nos aéroports, de renforcer davantage les éléments additionnels qui peuvent également apporter une importante plus-value aux systèmes de sûreté », ajoute M. Ba au nom du directeur général de l’Anacim, Sidy Guèye.
Adou FAYE