Il intervenait lors de l’ouverture officielle du séminaire de validation de l’étude portant sur l’acquisition, l’exploitation et l’entretien des véhicules administratifs du Sénégal organisé par l’ARMP. Rappelant l’objectif du séminaire, M. Niang estime qu’il vise à partager avec l’ensemble des acteurs impliqués dans la gestion des véhicules administratifs, sur les modalités, les difficultés, les freins et obstacles à la mise en place d’un système efficace et efficient de gestion de ce parc roulant.
« Il s’agira de surtout de proposer des solutions simples et faisables, en vue de pouvoir disposer des véhicules robustes et confortables afin de satisfaire l’objectif général d’économie recherché dans la commande publique », a avancé le DG de l’ARMP.
Selon lui, l’étude du cabinet Consulting Group fait suite à la saisine du Premier Ministre, en date du 12 juillet 2012, relative à la volonté du Gouvernement de rationaliser la dépense, notamment, dans l’acquisition, l’exploitation et l’entretien des véhicules acquis par l’Administration.
« Pour s’en convaincre, il suffit de faire le tour des parkings des véhicules administratifs. Cette situation qui n’honore personne est lourde de conséquences en termes de charges d’entretien et de réparation des véhicules administratifs », regrette M. Niang.
Selon lui, tous s’accordent sur le constat du mauvais état du parc automobile de l’Administration. « Il reste à donner la pleine mesure les causes structurelles de ce phénomène qui affecte la qualité du service public », affirme-t-il . Il ajoute que
les hautes autorités ont fait l’amer constat de la dégradation prématurée du parc automobile de l’Etat, nécessitant une étude diagnostic approfondie accompagnée de fortes préconisations pour enrayer la situation.
Ensuite, poursuit M. Niang, le Comité de règlement des différends (CRD) de l’ARMP rend tous les ans, des centaines de décisions. « Un bon nombre concerne des recours en contentieux émanant, soit des candidats aux marchés publics, en l’occurrence, les concessionnaires, les revendeurs et les garagistes, soit des autorités contractantes ».
Le DG de l’ARMP espère ainsi que la bonne volonté qui anime toutes les parties prenantes « nous permettra de nous accorder sur l’essentiel, à savoir, la recherche et le partage de solutions aux défis qui nous interpellent : améliorer les acquisitions ou l’utilisation des véhicules administratifs et alléger les charges d’entretien et de réparation du parc automobile de l’Administration ».
El Hadj Diakhaté
« Il s’agira de surtout de proposer des solutions simples et faisables, en vue de pouvoir disposer des véhicules robustes et confortables afin de satisfaire l’objectif général d’économie recherché dans la commande publique », a avancé le DG de l’ARMP.
Selon lui, l’étude du cabinet Consulting Group fait suite à la saisine du Premier Ministre, en date du 12 juillet 2012, relative à la volonté du Gouvernement de rationaliser la dépense, notamment, dans l’acquisition, l’exploitation et l’entretien des véhicules acquis par l’Administration.
« Pour s’en convaincre, il suffit de faire le tour des parkings des véhicules administratifs. Cette situation qui n’honore personne est lourde de conséquences en termes de charges d’entretien et de réparation des véhicules administratifs », regrette M. Niang.
Selon lui, tous s’accordent sur le constat du mauvais état du parc automobile de l’Administration. « Il reste à donner la pleine mesure les causes structurelles de ce phénomène qui affecte la qualité du service public », affirme-t-il . Il ajoute que
les hautes autorités ont fait l’amer constat de la dégradation prématurée du parc automobile de l’Etat, nécessitant une étude diagnostic approfondie accompagnée de fortes préconisations pour enrayer la situation.
Ensuite, poursuit M. Niang, le Comité de règlement des différends (CRD) de l’ARMP rend tous les ans, des centaines de décisions. « Un bon nombre concerne des recours en contentieux émanant, soit des candidats aux marchés publics, en l’occurrence, les concessionnaires, les revendeurs et les garagistes, soit des autorités contractantes ».
Le DG de l’ARMP espère ainsi que la bonne volonté qui anime toutes les parties prenantes « nous permettra de nous accorder sur l’essentiel, à savoir, la recherche et le partage de solutions aux défis qui nous interpellent : améliorer les acquisitions ou l’utilisation des véhicules administratifs et alléger les charges d’entretien et de réparation du parc automobile de l’Administration ».
El Hadj Diakhaté