Il présentait les résultats de l’étude portant sur l’acquisition, l’exploitation et l’entretien des véhicules administratifs du Sénégal lors d’un séminaire organisé par l’Autorité de régulation des marchés publics (ARMP). « Le contrat d’entretien devra alors figurer dans les offres pour 2ans ou 5 ans », avance M. Faye. Il justifie sa proposition par le fait que les véhicules actuels sont très sophistiqués car ils sont truffés d’électronique qui certes permet d’avoir une utilisation meilleure avec confort et sécurité (ABS, Airbag, EPS). « On peut penser que le coût du véhicule peut être plus élevé, mais cela est marginal par rapport au gain qu’on fait dans la préservation de la durée de vie du véhicule et surtout du confort et de la sécurité », plaide cet expert.
Il a également recommandé que le DAO soit élaboré de manière neutre et équitable envers tous les potentiels soumissionnaires. Il doit aussi être exploitable. A cet effet, M. Faye estime qu’il faut que les cylindrées proposées correspondent au tableau des puissances fiscales de la direction des transports terrestres. De même, ll est d’avis que l’autorisation du constructeur doit être exigée pour la garantie des pièces de rechanges et des réparations. « Cette autorisation du constructeur montre que les véhicules proposés sont destinés au marché local tenant compte du climat, de l’environnement et de l’état des infrastructures » avance l’expert consultant.
Parmi les autres recommandations de M. Faye, il y a celle demandant aux services de l’Etat ayant des garages mécaniques d’entretien et de réparation (présidence, primature, ministère de la santé, etc ) de se doter d’appareil électronique de diagnostic des pannes et d’envoyer certain de leur personnel en formation.
L’objectif du séminaire est de recueillir les avis et suggestions des acteurs impliqués dans la gestion des véhicules administratifs en vue de mettre en place de manière consensuelle et transparente, les meilleures recommandations possibles.
El Hadj Diakhaté
Il a également recommandé que le DAO soit élaboré de manière neutre et équitable envers tous les potentiels soumissionnaires. Il doit aussi être exploitable. A cet effet, M. Faye estime qu’il faut que les cylindrées proposées correspondent au tableau des puissances fiscales de la direction des transports terrestres. De même, ll est d’avis que l’autorisation du constructeur doit être exigée pour la garantie des pièces de rechanges et des réparations. « Cette autorisation du constructeur montre que les véhicules proposés sont destinés au marché local tenant compte du climat, de l’environnement et de l’état des infrastructures » avance l’expert consultant.
Parmi les autres recommandations de M. Faye, il y a celle demandant aux services de l’Etat ayant des garages mécaniques d’entretien et de réparation (présidence, primature, ministère de la santé, etc ) de se doter d’appareil électronique de diagnostic des pannes et d’envoyer certain de leur personnel en formation.
L’objectif du séminaire est de recueillir les avis et suggestions des acteurs impliqués dans la gestion des véhicules administratifs en vue de mettre en place de manière consensuelle et transparente, les meilleures recommandations possibles.
El Hadj Diakhaté